saboteur

Nous en avions discuté avec Patricia et finalement elle est venue avec le jeu Madeira.

C''est effectivement le jeu choisit pour la soirée. Jérôme ayant été convaincu par la boîte pleine de pions, cartes, dès .....

J'avais averti il me semblait complexe et long.... Nous confirmons il faut du temps. 3 h pour les explications et 2 tours de jeu. Ouille çà pique. On découvrait le jeu pour voir ce que cela donnait et nous en sommes resté là.

Patricia était contente car elle avait pu enfin tester son jeu. Bravo en tout cas pour les explications car ce n'était pas facile. Quelques questions et éclaircissements supplémentaires et nous pouvions démarrer.

Pour avoir cherché quelques détails, on s'aperçoit que la règle du jeu est vraiment mal foutu et Patricia a d'autant plus de mérite.

Le plateau de jeu.

Difficile de résumer la règle. Il y a plein de petites choses.

Globalement, on récupère 1 série de dé sur le plateau du bas. Cela détermine aussi sa prochaine position au prochain tour, de plus on prend 1 carte qui sera un objectif de fin de tour.

Ensuite on place les dés sur les cartes personnages qui comportent aussi 1 bâtiment.

On joue d'abord tous les personnages et les actions associées puis on jouera les bâtiments

du même plateau en payant le coût.

Ensuite on paye pour les personnages posés sur le plateau en pain et en bois pour les bateaux que l'on mis en jeu.

On termine en jouant 1 de ses cartes d'objectif ce qui permet de marquer d'autres points de victoire.

Plein de petits trucs un peu partout et des possibilités variées de marquer des points.

Finalement le tour de jeu n'est pas si compliqué et les actions logiques.

Par contre c'est long et calculatoire. Ce qui est difficile c'est de voir qu'elle action produira tel effet pour quel gain. C'est assez compliqué et il y a plein de choses à faire mais le jeu est quand même assez fluide.

C'est assez intéressant mais je trouve un peu trop long et complexe. C'est un peu comme bora bora mais que je trouve plus accessible.

La fin de notre jeu au 2 ème tour. Je termine deuxième derrière Lucette qui termine en tête.

On voit bien en haut les cartes personnages avec les dès. Le total détermine combien coûte l'activation du bâtiment. On peut aussi utiliser les dès noirs pirates pour ne faire que l'action du personnage. 

Pour terminer la soirée un petit jeu facile, saboteur mais avec la règle un peu plus complexe qui ajoute des nouveaux rôles : les nains verts et bleus, le profiteur, le boss, les géologues et toujours les saboteurs.

Cela démarre bizarre, il y a du sabotage dans l'air.

Oui les doigts montrent le gain de Lucette, qui est la grande gagnante de cette ultime partie dans la mine.

Prochaine soirée avec le test de photosyntesis ou pas ....

Une nouvelle soirée jeux avec un nouveau joueur Christian qui venait découvrir les jeux de société.

Pour débuter, en attente des retardataires, un petit jeu de coopération et duplicité avec Saboteur.

Je vous rappelle le principe : une bande de nains tentent de trouver un trésor en creusant dans une mine pendant que des saboteurs font le maximum pour pourrir l'avancée des valeureux creuseurs (ce n'est pas dans le dico mais cela illustre bien l'action).

C'est le début de notre mine à nous les nains. On sent bien que les saboteurs sont au travail et dirigent nettement les chemins vers le bord de la table, alors que les cartes aux trésors sont situées sur la droite. Mais bon, les saboteurs finiront par perdre de toute façon.

Une partie avec les règles de base où les saboteurs ne gagneront jamais. Comme quoi les parties sont toujours différentes.

La gagnante est la naine Nono et pas Anaïs ...hein Béatrice :-)

Béatrice, qui est pourtant une spécialiste du creusement de mine, fait perdre les saboteurs à la dernière manche m'empêchant de concurrencer Noémie pour le gain de la partie.

Dans ce jeu effectivement, on compte les points, mais l'essentiel n'est pas là. Ce sont plutôt les rebondissements et finalement le déroulement de la partie qui compte.

Finalement, je m'aperçois que je n'ai jamais joué à l'extension qui est encore plus variée avec d'autres rôles : des nains bleu et vert, 1 profiteur, 1 boss, des géologues, d'autres cartes et donc plein d'autres possibilités. Faudra essayer mais cela risque d'être un peu chaotique. A voir pour une prochaine fois.

Partie suivante : un classique 7 wonders.

Moi cela ne me paraît pas compliqué mais à l'explication je m'aperçois que les nouveaux joueurs sont un peu inquiets ......finalement il y a quand même beaucoup de choses.

Béatrice reste avec nous, en tant qu'experte, pour aider les joueurs un peu perdus...

Jérôme, devrait aider lui aussi mais on voit bien "qu'il ne donne pas le bâton pour se faire battre"...et je ne suis pas sûr que les suggestions à son voisin soit complètement désintéressées. C'est le problème quand on aide mais que l'on veut aussi gagner :-)

.

La partie de 7 wonders vers la fin. C'est mon petit plateau perso. Il y a beaucoup de vert.

Les malins ont suggérés que j'allais vers la victoire avec le vert car comme c'est plus compliqué pour le calcul, c'est pour cela que l'on me laisse les cartes, ce qui devrait automatiquement aboutir à une victoire.

Et bien non, 7 wonders, c'est plus compliqué, et même si effectivement je marque beaucoup de points avec les verts comme pour le reste je suis à la ramasse, je ne gagne pas cette partie, loin de là.

Finalement, je crois que la bonne tactique c'est de faire un peu de tout (à condition d'avoir les bonnes cartes), Jérôme applique parfaitement le concept et remporte la victoire.

Quelques doutes puisque comme il le dit lui même on joue avec les voisins et que ses voisins étaient débutants. De là à penser qu'ils n'ont pas fait trop attention aux cartes qui laissaient passer mais il faut un vainqueur de toute façon.

Jérôme aime bien les interactions et la "baston" , on est d'accord c'est moins dans le combat qu'un Kemet ou un Cyclade mais l'intérêt du jeu est plutôt dans la variété et la durée. Un jeu intéressant à 7 joueurs, variés et qui se joue en 30 minutes (si on connaît les règles) j'en connaît pas beaucoup.

Je continue à bien aimer.